Poems for Snow

« Un musicien dédié et intègre au plus haut degré, et un chef de file inspiré… » Ilya Poletaev, lauréat à cinq reprises de la International piano competition et professeur à l’université McGill.

Nommé au prix Heinz Unger, François Koh a reçu une formation spécialisée comme chef d’orchestre en France et au Canada, lui méritant une maîtrise de l’université McGill University et un doctorat de l’université de Toronto doté d’une bourse complète. En 2022, M. Koh était l’un des finalistes pour le poste de chef d’orchestre en résidence de la symphonie de Toronto. Ses expériences comme chef d’orchestre comprennassent l’orchestre symphonique Savaria, Filarmonica de Stat Târgu Mureş, Ensemble dal Niente, l’orchestre symphonique de l’université de Toronto, l’orchestre symphonique de l’université McGill, l’Ensemble orchestral de Dijon et l’Ensemble Paramirabo. M. Koh a joué avec des solistes de notes dont Jonathan Crow, Ilya Poletaev, Mark Fewer, Kyoko Hashimoto, Erika Raum, Jeremy Bell et Alexander Dunn.

De 2015 à 2022, M. Koh était le directeur musical de la Georgian Bay Symphony. En 2017, alors sous sa direction, la GBS a remporté le prix Vida Peene du Conseil des arts de l’Ontario pour son excellence artistique et ses liens communautaires forts. Le Conseil des arts de l’Ontario a également reconnu les contributions communautaires de M. Koh et l’a invité à siéger à un jury des pairs pour les organismes de musique en 2022 où il a évalué soixante-dix-sept demandes de subventions provenant d’orchestres, chorales et festivals ontariens.

M. Koh se passionne également pour la performance de la musique contemporaine, et en particulier à promouvoir les jeunes compositeurs canadiens, et artistes francophones et autochtones. Son but artistique est de solidifier le tissu culturel des communautés en leur offrant un accès à une musique classique de la plus haute qualité.

Le Guelph Mercury la décrit comme « magnifique et [son jeu de violon] est à couper le souffle ». La violoniste Bénédicte Lauzière jouit d’une carrière prolifique sur la scène canadienne, notamment comme premier violon de la Kitchener-Waterloo Symphony, et également comme soliste, musicienne de chambre et récitaliste. Elle a reçu plusieurs prix dont le Prix d’Europe en 2014, le prix Michael-Measures en 2011, prix Peter Mendell en 2010 ainsi qu’une bourse pour les musiciens professionnels du Conseil des arts du Canada. Mme Lauzière était lauréate de la Stulberg International String Competition en 2010 et a remporté de nombreux prix dans des compétitions nationales. En tant que soliste, ses récentes performances comprennent le Concerto en Ré majeur op. 35 de Tchaïkovski (2023), The Lark Ascending de Vaughan Williams (2021), le Concerto pour violon op. 14 de Barber (2018), le Triple Concerto de Beethoven (2018) avec le pianiste Stewart Goodyear et le violoncelliste John Helmers, le Concerto en Ré majeur de Korngold (2016) et la Tzigane de Ravel (2016), toutes, avec ses collègues de la Kitchener-Waterloo Symphony. Elle a également été soliste invitée par la Kingston Symphony Orchestra, le festival Elora, l’Orchestre de l’Académie nationale du Canada et l’Orchestre symphonique de Québec. Bénédicte détient une maîtrise en musique de la Juilliard School à New York en mai 2014, où elle a étudié avec Masao Kawasaki grâce à l’appui des bourses Karl H. Kraeuter, H. & E. Kivekas et Starr. Elle a performé au Lincoln Center et à Carnegie Hall. Elle détient aussi un baccalauréat en musique de l’école Schulich de l’université McGill où elle a étudié avec Jonathan Crow en tant que récipiendaire de la bourse Lloyd Carr-Harris scholarship. Dans sa jeunesse, elle a étudié au Conservatoire de Musique de Montréal auprès de Helmut Lipsky.